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L'Épée de Vérité - Terry Goodkind
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Total des votes : 51

Auteur Message
Lörwenn
Chevalière errante


Inscrit le: 18 Sep 2010
Messages: 438
Localisation: Endórë

MessagePosté le: Mer Nov 09, 2011 7:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Meneldur a écrit:
Un article qui résume bien les points forts (hum) de la série télévisée : Legend Of The Seeker. C'est en anglais (et probablement NSFW), mais rien qu'avec les images vous devriez saisir le propos.

C'est bizarre car personnellement j'ai fait complètement abstraction des atouts "boobs" ou "bodybuildés" lorsque j'ai regardé cette série…
Peut-être que l'auteur de ces prises de vue très orientées y est plus sensible* car il n'a manifestement pas lu le moindre livre de ce cycle : ainsi le contexte où évoluent les Mord-Sith est plutôt bien respecté. Et le tournage ne s'appuie pas aussi lourdement sur le physique des acteurs, du moins je ne le ressens pas de la même façon (parce que je recherche en permanence les analogies avec mes lectures, ce qui n'est pas simple -voir plus bas-).

J'ai regardé la première saison pour le seul plaisir de voir les personnages que j'avais suivi si longtemps prendre vie : pas de déception majeure car les efforts de casting, de costumes, de mise en scène et même les effets spéciaux sont finalement payants.
Mais je n'ai pas accroché à la seconde saison donc je ne regarde qu'un épisode de temps en temps. Celui où Zeddicus Zul'Zorander est déguisé en duègne est assez irrésistible et humoristique (si si). Excellent potentiel que cet acteur ! Bruce Spence (Matrix Revolutions, La Revanche des Sith, Le Retour du Roi...) est vraiment taillé pour ce rôle.

Finalement, les erreurs scénaristiques, le parti pris d'adaptation dénaturant m'amènent à affirmer qu'il est plus que préférable de ne pas avoir lu les tomes pour apprécier cette série télévisuelle. Beaucoup trop de libertés ont été prises avec l'histoire, les personnages et ça c'est réellement très décevant. D'où le décrochage total lorsqu'on finit par ne plus s'y retrouver…
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(*) non je n'ai pas dit qu'il s'agissait d'un point de vue typiquement masculin ! ^^
_________________
"Au commencement était le verbe.
Puis arriva le traitement de texte, et leur foutu processeur de pensée.
La mort de la littérature s'ensuivit. Ainsi va la vie."

(Dan Simmons, Les Cantos d'Hypérion : Endymion-T3).
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Aurore



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MessagePosté le: Sam Mar 24, 2012 8:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je viens de finir le 1er tome et je suis mitigée, comme beaucoup apparemment ! D'un côté ça se laisse lire mais d'un autre c'est vrai que c'est "classique", sans grande originalité. Et même si j'ai apprécié le tome 1, je ne suis franchement pas sûre de tenir sur la durée.
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Lutine



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Messages: 28
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MessagePosté le: Mar Juin 23, 2015 10:56 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Un cycle que j'ai aimé au debut... Mais qui m'a ensuite j'avoue decu... D'abord certaines choses me rappelait un autre cycle... Ca m'a derangee. Et puis certains tome, trop long et faisait genre "remplissage" et la fin.... Hum... Qui m'a disons pas convenu !!
Voila *Smile*
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maurice



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MessagePosté le: Ven Juin 26, 2015 8:11 am    Sujet du message: Répondre en citant

Salut Lutine
de cet Saga je n'ai lu que les quatre premiers et d’après moi l'Auteur aurait dû s’arrêter là.
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"Sur les rayons des bibliothèques, je vis un monde surgir de l'horizon" (Jack London)
Maintenant je ne retarde rien Ne repousse ou ne conserve rien qui pourrait apporter de la joie et des rires à nos vies Je me dis que chaque jour est spécial
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Lutine



Inscrit le: 22 Juin 2015
Messages: 28
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MessagePosté le: Sam Juin 27, 2015 11:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Salut Maurice

C'est une des rares séries ou j'ai ete decue au final.... Je l'ai lue jusqu'a la fin parce que j'aime finir les livres... Et en general les "cliché" des bons et des méchants ne me derange pas trop, mais les derniers tomes etaient a mon gout trop... tout et faisait remplissage un peu pour en arriver a une fin.... Speciale je dirai. Peut etre certains l'ont trouver bonne je ne sais pas.
Peut etre qu'elle aurait du s'arreter au tome 4 ^^ je ne me souvient plus trop a partir de ou j'ai ete plus que mitigee.
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ChaFo



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MessagePosté le: Mer Juil 08, 2015 7:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis du même avis que vous, les derniers livres auraient été meilleurs s'ils n'avaient pas été "rallongés". Dommage, parce que le début était bien, en dépit des fameux clichés et raccourcis sur les personnages (trop manichéens à mon goût).
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krys



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MessagePosté le: Lun Oct 05, 2015 10:19 am    Sujet du message: Répondre en citant

tome 13 : le troisième royaume
La suite des aventures de Richard et Kahlan, qui se trouvent cette fois confrontés à d'étranges créatures à demi-humaines ou à demi-mortes. Richard découvre, avec l'aide d'une jeune magicienne, Samantha, que ces créatures viennent du séjour des morts, et qu'elles sont avides d'âme humaine. Elles étaient jusque là contenues dans leur monde par un mur construit du temps de Magda Searus, la première inquisitrice, mais quelqu'un a trouvé une brèche et c'est donc bientôt la fin du monde des vivants.
Des dialogues interminables et dogmatiques (pour avoir la paix, restons vigilants, il faut toujours aller jusqu'au bout, ne pas laisser tomber ses amis...), une situation désespérée et manichéenne (Richard est l'élu qui doit sauver le monde de sa fin toute proche) : on est bien dans du Goodkind et si on accepte ce postulat, ça fonctionne. Peu de subtilité dans les créatures du mal, on a juste un troupeau indistinct et un leader très méchant, très cruel, et les amis de Richard qui tuent mais pour la bonne cause et quand on croit que tout est perdu, une solution arrive. Pas de nouveauté réelle, dommage que l'auteur n'ait plus trop de créativité. Et vraiment, il faudrait revoir les dialogues ^^
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Fantasy can become reality (Stratovarius).
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Merwyn



Inscrit le: 20 Nov 2016
Messages: 119

MessagePosté le: Sam Déc 03, 2016 7:04 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bon, j'avais dit que je ne ferais pas de copier/coller de mes participations sur d'autres fora mais là, ça ferait une bonne synthèse et comme j'ai lu le tome 14, il y a deux ans, difficile d'avoir une bonne justesse de pensée sur de lointains souvenirs.

Après lecture du tome 1 :

Mes impressions +:
- Du talent dans la description des lieux.
- Du talent dans l'évocation de la souffrance, d'ailleurs il navigue parfois un peu trop en domaine SM.

Mes impressions -:
- Les scènes de confrontations classiques sont peu recherchées.
- Trop de mélodrame.


Tome 2 "La Pierre des Larmes"

Le style et l'atmosphère sont un cran au-dessus.

C'est étonnant tous ces auteurs d'épopée qui font un premier tome avec un certain nombre de maladresses mais qui, dès le second, montrent un talent certain et affirmé.

Je ne sais pas si cela tient à une remise en question d'eux-mêmes, à une minutieuse relecture ou si cela vient d'une libération suite au succès du premier tome.

Quoi qu'il en soit, dans le cas de l’Épée de Vérité, c'est plutôt une bonne nouvelle.

Deux bémols toutefois:
- Trop de rappels du tome 1, comme si l'auteur voulait expliquer ce qui s'était passé dans le tome 1 pour qui commencerait par le tome 2.
- Toujours trop larmoyant... Bon après, faut dire que les personnages font passer les héros tragiques de Racine pour des petits joueurs...

Ce second roman est donc meilleur que le premier, meilleur au niveau de l'écriture, de l'intrigue, allant jusqu'à mener le lecteur sur de fausses pistes (on arrive toutefois à en déjouer certaines, passée la surprise des premières).

Reste toutefois encore des bémols:
- Une fin trop rapide, comme pour le tome 1... avec de nombreuses ellipses pour faire avancer l'histoire. En somme ce qui se passe dans les 80 dernières pages demanderait 800 pages si le rythme était le même que pour le reste du roman... Ce qui ferait, il est vrai un tome de 1600 pages...
- Un peu trop de lubricité et de sadisme dans certains passages (j'ai failli arrêter de lire à un moment) mais... là où cela aurait pu être de trop, il s'est abstenu... Pente toutefois dangereuse.

En points positifs cette fois:
- Une belle réflexion sur les actions humaines.
- Moins larmoyant passé les premières centaines de pages.

En définitive, si je devais donner une note à l'ouvrage (ce qui est toujours fort subjectif), je donnerai un 14/20 au tome 1 et un 16/20 à ce tome 2.


Tome 3 " Le Sang de la Déchirure"

A certains moments il y a beaucoup de blabla qui n'apporte rien à l'histoire avec des dialogues emplis de poncifs.

Toutefois, c'est le tome que je préfère (sur les 3 lus) car:

- Enfin, il arrête avec les grandes effusions toutes les 25 pages.
- L'intrigue prend une nouvelle dimension qui nous demande de réfléchir.

Après, comme pour les deux premiers tomes, tout se précipite dans les 80 dernières pages... Aux premiers tomes, je pensais qu'il accélérait car il devait finir son ouvrage, cependant je me demande maintenant si ce n'est pas un effet qu'il veut donner, comme dans les films avec une apothéose finale.... mon avis reste mitigé.

Enfin, il y a toujours des éléments que je n'aime pas, lubricité et sadisme trop présents encore et toujours.


Tome 4, " Le Temple des Vents ".

Au niveau de l'intrigue, il s'est amélioré mais j'ai dû passer une bonne dizaine de pages, sur les 500, de blabla...
Les personnages de Nathan, de Berdine et Clara donnent plus d'épaisseur à l'histoire.

Au niveau des points négatifs, toujours un sadisme de très mauvais goût (même si cela se termine bien), quelques invraisemblances vers la fin et un rappel des épisodes des trois premiers tomes distillés dans les cent premières pages...

Il continue à faire en sorte que quelqu'un qui commence au tome 4 peut comprendre ce qui s'est passé dans les 3 premiers tomes mais... pour qui a lu les 3 premiers tomes, c'est rébarbatif...


Tome 5," L'Âme du feu "

De tous ceux que j'ai lu, c'est le meilleur. Du coup, l'auteur semble s'améliorer de tome en tome.

Pourquoi ?

- Toujours de la violence mais plus gratuite, il y a un contexte qui l'explique.
- Une intrigue à plusieurs volets bien construite.
- Des personnages plus réalistes, une recherche de la psychologie populaire intéressante.
- Pas de blabla... Toutes les discussions, narrations comptent.

En somme, en ce roman, il suspend un pont entre le caractère subversif du pouvoir en notre monde et celui du sien, le tout tinté d'un populisme subtile ou comment aliéner la raison des masses.

Ça reste basique (fondement de l'homme nouveau et du machiavélisme) mais c'est bien dosé et donne une certaine épaisseur psychologique au roman.


Bon, il reste toujours des points négatifs:
- Pendant la première moitié du roman, il y a un affrontement des opinions des deux héros du roman, opinions où l'héroïne passe pour une incrédule notoire, allant à l'excès... (alors que de part sa position, son expérience, sa vie, elle est le cerveau de l'équipe).
- Toujours des redites (ce dont nous parlions plus haut) mais un peu moins.


Tome 6, " La foi des réprouvés "

... qui commence très mal... les 300 premières pages (sur 750) aurait pu être écrite en 50... beaucoup de remplissage...et puis... les 450 pages suivantes ont été les meilleures qu'il eut écrit jusqu'alors...

Auteur assez particulier où on ne sait jamais si c'est un hasard ou un acte conscient... Il est vrai que la coupure entre les deux moitiés du livre est franche et donne une impulsion à l'ouvrage mais au risque d'en faire arrêter la lecture pour les moins courageux avant la partie intéressante.

Pourquoi est-ce que je dis que la seconde moitié du livre est la meilleure...?
- Il donne une nouvelle dimension aux personnages
- Une réflexion forte sur la charité, comme le fait de vouloir aider à l'excès, d'être paré des meilleures intentions, peut être d'un danger mortel.

L'auteur c'est là beaucoup inspiré du système soviétique et maoïste en y ajoutant une forte dose religieuse et poussant le tout à ses excès.
En résumé, vouloir le bien commun sans se soucier du bien individuel revient à nier ce qui fait la sève de la vie, le goût du travail et, au final, se retourne contre ses aspirations premières.


Tome 7, " les Piliers de la Création "

Le moins bon des 7 premiers tomes.

Pourquoi:
- On sait dès la 50e page des 600 comment ça va se finir donc aucun véritable suspens.
- Les 550 premières pages racontent l'histoire de personnages secondaires et on ne revient aux principaux qu'à la fin.

On va dire que ce tome est comme un entracte, une pause entre le 6 et le 8.


Tome 8, "L'empire des vaincus"

Alors cette fois-ci, on retrouve les personnages principaux et c'est un tome assez intéressant puisqu'il sert de critique à la philosophie de la non violence.
En effet, l'auteur défend que ne pas vouloir opposer la violence défensive à la violence extrême conduit inexorablement à l'esclavage.

Comme pour le tome 6 où il puisait son inspiration dans les régimes totalitaires, là, on voit en filigrane, la doctrine bouddhiste...

Encore une fois, l'auteur part en guerre contre les philosophies extrêmes qui ne peuvent être que sources de malheurs et d'oppression.

Sinon, l'intrigue en elle même n'est pas la meilleure mais elle se tient et au final, le tome, en étant moins violent que certains autres, procure un certain plaisir de lecture.


Tome 9," la Chaîne des flammes "

J'ai été agréablement surpris...
On sent une véritable évolution de l'auteur qui, après près de 6000 pages, s'immerge totalement dans son monde, le maîtrise totalement, une sorte de seconde réalité chez lui...
Le caractère scabreux des premiers tomes a ici presque disparu et le surmoi qui nous sort de la lecture fait alors dodo.

L'intrigue en elle-même est intéressante et rejoint l'idée selon laquelle "la pensée de la majorité fait office de vérité", l'auteur nous montre ô combien cette idée peut se révéler fausse... Mais plus encore, c'est l'attachement à l'être aimé qui est mis en avant et qui nous accompagne tout au long de la lecture.

Au final, un très bon tome, le meilleur certainement.

Quand on lit certains auteurs, on va très facilement d'un point A à un point B, on sent que l'histoire a été soit découverte au fil de l'écriture soit juste tracée en grandes lignes avant d'être développée... Pour Terry Goodkind, j'ai presque l'impression d'un plan précis, détaillé qu'il aurait pré-écrit et sur lequel il aurait longuement réfléchi... l'intrigue, les sous-intrigues étant trop subtiles pour venir d'un coup au fil de l'écriture sans un sérieux travail avant.
Il se peut qu'il les modifie quand il écrit mais l'essentiel de la structure semble le fruit d'un long travail de concordance, de causalité, d’imbrication argumentés qui se fait avant l'écriture elle-même.


Tome 10, 11 et 12 :


J'ai apprécié les trois. Le 11 avait tout pour être la fin de l'épopée (quoique fin trop rapide à mon goût comme d'habitude) et on a un peu de mal à accepter le début du 12 car justement... le " ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants " m'aurait très bien convenu.

Maintenant, c'est comme tous les personnages que l'on suit depuis 7000 pages, ils font un peu partie de nos vies et, égoistement, on est bien content de les retrouver dans un 12ème tome avec quelques subtilités.
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Merwyn



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MessagePosté le: Sam Déc 03, 2016 7:20 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ce qui est intéressant quand on relit ce qu'on a écrit il y a des années (presque 10 pour le tome 1), c'est qu'on a souvent l'impression de lire quelqu'un d'autre.

Je me rends aussi compte que j'écris souvent que le tome lu est "certainement le meilleur", ce qui est assez bon signe, l'auteur s'étant souvent amélioré (avec quelques passages à vide) et le tome 9 semble être le meilleur des meilleurs qu'il a écrit.

Mon ancien forum ayant fermé avant la sortie du tome 13, je n'ai pas fait de commentaire sur le 13 et 14, j'en suis désolé.
Mes lointains souvenirs ne me laissent pas une mauvaise impression mais pas une excellente non plus.

Je vous ferai un bon commentaire pour le tome 15, qui clos la saga.


En ce qui concerne la série télé cette fois, en effet, il faut savoir distance garder par rapport aux livres.
Tout d'abord, en tant que lecteurs on a toujours une très forte attente lors de l'adaptation cinématographique et on est presque toujours déçu même quand elles sont réussies comme le Seigneur des Anneaux (il est où Tom Bombadil ?).
Dès le 1er épisode de "Legend of the seeker", la liberté prise par rapport aux livres est importante, Kalhan n'est pas mère inquisitrice, Richard est de taille moyenne voire un peu petit (alors que dans les livres, il en impose par sa taille), Darken Ralh (où on retrouve un acteur d'une ancienne série comique des années 80) a une généalogie totalement modifiée par rapport à Richard, enfin, l'histoire est totalement remaniée.
Par contre, Kalhan et Cara correspondent assez bien aux descriptions des livres.

Nonobstant cela, les 2 saisons de la série m'ont, dans leur ensemble, plu. En effet, à ce jour, c'est certainement la seule véritable série high fantasy de qualité existante (si vous en connaissez d'autres, n'hésitez pas ... en enlevant Arthur, Merlin et compagnie... qui ne sont pas de la high fantasy).


Dernière édition par Merwyn le Lun Déc 05, 2016 6:39 pm; édité 5 fois
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krys



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MessagePosté le: Lun Déc 05, 2016 11:41 am    Sujet du message: Répondre en citant

merci pour cet avis détaillé !
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Merwyn



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MessagePosté le: Sam Déc 24, 2016 11:10 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ceux qui suivent mes passionnantes aventures livresques (ironie, je précise, on ne sait jamais...) savent que j'ai mis du temps à lire le tome 6 du Sorceleur et que j'ai décidé de faire une pause avant le tome 7 en lisant le dernier ouvrage des aventures de Richard et Kahlan.

Et bien, je respire enfin !

Passez d'Andrzej Sapkowski à Terry Goodkind, ça ne laisse pas indifférent tant leurs styles sont dissemblables.
Alors que dans Le sorceleur, j'avais du mal à imaginer les lieux, les actions (notamment lors des combats), ici tout est clair et limpide, simplet d'aucuns diraient, agréables et reposant je répondrais.

Passons sans plus tarder au Coeur de la Guerre :



On pourrait regretter chez Terry Goodkind ses descriptions assez simplistes comme lorsqu'il utilise le terme "symboles" 3 fois dans la même page sans les décrire ou qu'il évoque des tentures foncées, des meubles en acajou, sans plus de précision mais, cela ne me dérange pas, je les imagine très bien.
Par ailleurs, là où d'autres auteurs décriront chaque élément en des phrases interminables, aux mots savants, ne laissant plus la moindre place à notre imagination, et, au final, nous lassant et nous perdant.
Terry, lui, utilise majoritairement des descriptions simples mais évocatrices et, quand un élément est particulièrement important, il le décrit toutefois plus précisément ; on le suit très bien car, vu que ce n'est pas systématique, notre esprit fait naturellement l'effort.

Le talent d'un écrivain, à mon sens, se mesure notamment au dosage qu'il sait distiller pour rythmer son récit. N'importe qui (ou presque) peut écrire des phrases complexes, aux termes savants avec une description au plus fin (en utilisant les termes exacts).

Ex : D'un lazzi benoît, l'accorte anadyomène s'approcha de son affidé Silène.

Dans cet exemple inventé, j'ai utilisé le verbe approcher comme encrage afin de ne pas perdre le lecteur avec un vocabulaire peu courant, et j'ai joué sur les rimes pour distiller un minimum de musicalité.
Avouez tout de même que cette phrase ne serait pas facile en 1re lecture (je n'écrirai jamais ce genre de phrase dans un roman sauf si je mets en scène un poète ampoulé, dans un registre comique et secondaire) et pourtant, elle est par contre très facile à écrire.
Est-ce que des termes descriptifs auraient dû être ajoutés ? Non, je ne pense pas. On imagine bien la dryade sortant des eaux, sa plaisanterie espiègle, sa démarche gracieuse et le jeu qui se joue avec le Dieu (famille des satyres).
Le souci est que nombre d'auteurs vont, avec efforts (certains faisant des recherches importantes pour écrire le terme exact), rajouter moult descriptions précises, alourdissant le récit et nous privant ainsi de notre liberté à imaginer.

Revenons alors à Terry Goodkind, il fait partie des écrivains qui respectent le droit à l'imagination des lecteurs et j'apprécie cela. Il pourrait peut-être parfois utiliser des termes plus recherchés ou des synonymes (car les occurrences sont nombreuses, parfois dans une même page) mais cela reste secondaire quant à l'objet d'un bon ouvrage de fantasy, à savoir, nous permettre de nous évader, un instant du réel, pour plonger dans l'imaginaire.

Et oui, hier soir, j'ai commencé ma lecture à 20h30 et, je me suis arrêté, peu avant minuit.

L'autre force de Terry Goodkind est de se focaliser sur les personnages, leurs sentiments, très humains, dans lesquels nous nous reconnaissons. En s'identifiant ainsi à ce qu'éprouvent les personnages, on dévore les pages, on a peur pour eux et on s'inquiète de ce qui peut leur arriver.

J'ai toujours eu un critère pour savoir si un ouvrage m'a plu ou pas... Le réveil !
Si, entre le moment où j'ai commencé à lire et le moment où je m'arrête, beaucoup de temps a passé et que je ne m'en suis pas aperçu, l'ouvrage est intéressant.
Si par contre, je regarde régulièrement mon réveil, compte les pages jusqu'à la fin du chapitre, ce roman n'est pas fait pour moi.

C'est aussi pour cela que l'auteur, même s'il veut étaler sa science, doit rester chiche en termes savants car, à chaque fois, il risque de sortir son lecteur de la rêverie propre à une lecture captivante.

Au final, savoir écrire un bon roman, c'est avant tout savoir écrire pour les autres, se mettre à la place du lecteur et cela, Terry Goodkind, l'a bien compris.

Enfin, même si on parle de fantasy, le lecteur attend du réalisme, la sacro-sainte trilogie, prise de conscience - souffrance - victoire, il en a un peu assez. Pour rendre crédible son histoire, l'auteur doit laisser planer un doute, oui les héros peuvent périr (c'est un peu ce qu'a utilisé presque à outrance George R. R. Martin) car dans la vie, comme dans la fiction, les bons peuvent disparaître et les mauvais rester.

Voilà, j'en suis à 1/3 de ce tome 15 et ce que j'ai lu me permet aussi de mieux comprendre certains choix de l'auteur, controversés, dans les ouvrages précédents.

En somme, un bon début, je vous dirai rapidement pour la suite..;
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Merwyn



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MessagePosté le: Dim Déc 25, 2016 8:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Suite des aventures truculentes de " Reading with Merwyn " .... (no coment)

Hier soir, j'en ai poursuivi la lecture et, ma foi (comme dirait le curé qui nous réveille tous les matins à 7h avec ses cloches diaboliquement endiablées...) et les 60 pages que j'ai lues revenaient un peu dans les travers de l'auteur.
A savoir, 60 pages pour dire ce qui pouvait l'être en 10 avec, en prime, une mise en doute infondée par Kahlan des propos de Richard (la grande spécialité de Goodkind).

Ce soir, pause pour cause de Noël, reprise demain soir.
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Merwyn



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MessagePosté le: Mer Déc 28, 2016 9:44 am    Sujet du message: Répondre en citant

Et voilà, terminé le tome 15, Le Coeur de la Guerre, qui est également de dernier de L'Epée de Vérité.

Je l'ai terminé cette nuit à 1h du matin. Au final, il ne m'aura fallu que 9h et 3 nuits pour lire les 400 pages, il se lit donc assez vite.

Mes impressions ?

- Terry Goodkind finit par un tome posé, sans prise de risques, contrairement aux romans précédents. Il ne voulait sans doute pas heurter ses fans et il termine sur une note consensuelle.
- C'est le 1er tome où il n'est pas sadique avec ses personnages ! C'était un peu sa marque de fabrique qui me dérangeait et là, rien, bien entendu il y a de la souffrance mais plus de sadisme. Soit c'est sa personnalité qui a évolué, soit il était blasé soit il voulait terminer en caressant ses lecteurs dans le sens de la page.
- Bien entendu, il y a toujours quelques dizaines de pages inutiles, à savoir des mises en doute de propos qui sont pourtant logiques ainsi que des rappels qui ne seront utiles qu'à un lecteur commençant par le tome 15 (ce qui serait ballot, vous en conviendrez).
- Il continue avec ses fins de tome "flash" où les événements les plus capitaux se déroulent en quelques pages.

Au final, je suis satisfait de cette fin, elle ne m'a pas ému comme celle de La Ballade de Pern (mais j'avais alors 1/3 de l'âge que j'ai aujourd'hui) mais elle reste honnête, sans apothéose et cohérente.
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krys



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MessagePosté le: Jeu Déc 29, 2016 2:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

ah ! les pages inutiles de Goodkind, on pourrait en faire un roman ^^
mais sinon, ce tome parle de quoi ? j'en étais restée à des personnages revenus à une époque "moderne", tandis que d'un autre côté il y avait un retour en arrière avec "la première inquisitrice"...
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Merwyn



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MessagePosté le: Jeu Déc 29, 2016 9:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il parle de sauver le monde (une fois de plus!) mais cette fois vraiment !
Spoiler:

En fait, des sans âmes (demi-humains cannibales) envahissent les terres de d'Hara avec à leur tête un empereur vieux de 3000 ans...


Je n'en dis pas plus pour laisser le suspens.
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krys



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MessagePosté le: Dim Jan 01, 2017 2:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

ah là là ! quelle originalité !
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Hoël
Pygmalion


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MessagePosté le: Dim Jan 01, 2017 3:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

krys a écrit:
ah là là ! quelle originalité !


Voilà pourquoi ça m'est tombé des mains dès le premier volume, à l'instar de Shanarra de Brooks et d'autres du même acabit.
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maurice



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MessagePosté le: Lun Avr 27, 2020 8:47 am    Sujet du message: Saga "L'Épée de vérité" de Terry Goodkind Répondre en citant

Salut le Coin
En ces temps de confinement je me suis attablé a relire "L'Épée de vérité" de Terry Goodkind que j'avais découvert en 2003.
Je m'étais arrêté au tome quatre mais depuis la saga c'est enrichie et fait maintenant 15 tomes plus deux préquelle.
Donc j'ai commencé par Dette d'os mais j'aurai du lire d'abord "La première inquisitrice : La légende de Magda Searus".
Au vu des avis postés je ne veux pas faire de polémique mais simplement donner le mien.



Ce roman de Terry Goodkind est une deuxième préquelle a "l'Épée de Vérité" et apporte beaucoup d'éclaircissement sur la création de l'Épée et sur l'Ordre des Inquisitrices qui auront énormément d'importance dans la Saga.
J'avoue qu'à ma première lecture ce sont des questions qui étaient restées sans réponse.
j'aurai du commencé par celui-là avant Dette d'Os qui se déroule chronologiquement après.
Donc nous voila dans L'Univers créé par Terry Goodkind avec deux Royaumes qui s'affrontent avec des armées usant de Sorciers de Guerre.
Magda Searus est l'épouse du Premier Sorcier et elle affronte son suicide sans comprendre la raison qui l'y a poussé.
Elle va entreprendre de découvrir la vraie raison de sa mort, aidé en cela par un message sibyllin qu'il lui a laissé.
Mais très vite elle s'apercevra que des forces ennemies ont entrepris de brouiller les cartes.
Magda n'a aucun don pour la magie, et elle doit s'en remettre a son intelligence pour vaincre.
Après beaucoup de mésaventures en échappant a plusieurs reprises a des assassins elle va trouver de l'aide.
Vraiment un bon récit d'introduction au quinze tomes qui composent "l'Épée de Vérité".
J'ai lu les autres avis postés sur ce livre et je ne suis pas tout a fait d'accord avec certains, pour moi il mérite d'être lu en premier pour mieux comprendre ce qui va arriver dans la Saga.
Merci a Jean Claude Mallé qui a assuré la traduction de toutes la Saga ainsi que des deux préquelle.

En ce qui concerne "Dette d'Os"j'avais commencé a lire le tome 1 des "chroniques de Nicci" quand je me suis aperçus que c'était la suite de "L'Épée de vérité" de Terry Goodkind.
Les ayant lus a leur sortie dans leur première édition ,et ne m'en rappelant plus vraiment, j'ai décidé de reprendre la Saga en commençant par cette préquelle.
C'est plus une longue nouvelle qu'un roman, le livre ne contenant que 120 pages, mais cela met en place L Univers que l'Auteur va déployer au long des 19 tomes de la Saga.
On n'y fait connaissance avec Zeddicus Zu'l Zorander, un sorcier puissant, qui lutte avec ruse contre l'Armé de D'Hara.
Zed, c'est son surnom, tout en organisant les batailles, va honoré une dette d'Os, si vous vous demandez ce que cela peut bien être il ne vous reste plus qu'à ouvrir ce livre.
Cette préquelle nous apprend comment dut créée la Frontière séparant les trois royaumes composant cet Univers de Fantasy.
Même si elle n'est pas indispensable, c'est une bonne mise en valeur de Zed, surnommé par les Inquisitrices "le Filou".
Je voulais continué par "La première leçon du sorcier" mais je me suis aperçus que "La Première Inquisitrice. La Légende de Magda Searus" donc je l'ai lu avant.



Les trois tomes des "Chroniques de Nicci" se passe dans le même univers mais avec comme personnage principal Nicci, Sœur de la Lumière, Sœur de l’Obscurité, Reine Esclave, Maîtresse de la Mort...


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maurice



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MessagePosté le: Mer Avr 29, 2020 6:28 am    Sujet du message: La première leçon du sorcier Répondre en citant

Salut le coin
Avec plaisir j'ai redécouvert cette Saga



Je referme a l'instant "L'Épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorcier", et ma première lecture datant de plus de quinze ans, c'est comme découvrir une saga pour la première fois.
Cela ne fait qu'un an ou deux que je relie des livres, avant je ne l'avais jamais fait.
C'est un roman d'Héroic Fantasy classique, une belle en danger avec des assassins aux trousses, un brave jeune homme que rien ne prédispose a la magie, deux Sorciers puissants, chacun aux antipodes l'un de l'autre.
La lecture est facile, les personnages un peu trop caricatural, avec des ficelles parfois un peu trop simples.
Dans le rôle du traître il est facile de deviner qui trahira Richard, quand aux personnages secondaires ils tirent leur épingle du jeu, comme la petite fille et le garde forestier ami de Richard.
Cela ne vaux pas d'autres Saga que j'ai lu mais cela ce laisse lire.
Au moins toute l'oeuvre n'a eu qu'un seul Traducteur, merci à Jean Claude Mallé pour son excellent travail.
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MessagePosté le: Jeu Mai 07, 2020 7:22 am    Sujet du message: L'Épée de vérité : La Pierre des larmes Répondre en citant

Salut le coin
J'ai mis un temps fou à terminer ce deuxième tome de "l'Épée de Vérité" et la plume de Terry Goodkind ne donne pas envie de continuer.



Mais je vais quand même le faire, qui a pensé que je suis maso??
Donc nous avons un couple ayant des pouvoirs magiques mais qui se fourrent dans les pires calamités en tachant de bien faire.
Heureusement pour moi, certains passages méritent le détour, tel celui du combat mené par Kahlan, nue sur son destrier, avec des centaines de jeunots aux prises avec leur libido.
Sinon c'est des poncifs de la Fantasy que beaucoup d'Auteurs ont employés et emploieront encore, Terry Goodkind ne sort pas du lot.
La seule chose que j'ai apprécié c'est la Dragonne et le Garn, deux animaux qui auront un rôle crucial dans le récit.
Normalement on apprend de ses erreurs, hors cela n'est pas le cas de Richard, il fait chaque fois confiance aux mauvaises personnes.
Bref !! Je vais continué, histoire de donné une chance à cette Saga, portée aux nues par certain et vouée aux enfers par d'autres.
Au moins toute l'oeuvre n'a eu qu'un seul Traducteur, merci à Jean Claude Mallé pour son excellent travail.
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MessagePosté le: Lun Mai 11, 2020 6:18 am    Sujet du message: L'Epée de vérité : Le sang de la déchirure Répondre en citant

Salut le coin
Avec plaisir j'ai redécouvert cette Saga



J'ai refermé tard dans la nuit le tome 3 de "L'Épée de vérité" de Terry Goodkind mais je n'ai pas eu le courage de rallumer mon PC pour vous donnez mon avis .
Ce tome , "Le sang de la déchirure", montre encore la stupidité de Richard qui agit avant de réfléchir.
Non content d'avoir déchiré le voile qui interdit au Gardien de conquérir les Contrées, et bien qu'il l'ait refermé ,dans ce récit il va prendre une décision qui mettra les en péril devant une race créée par magie.
Dans ce tome l'action est omniprésente, et a suivre les différents protagonistes, on se demande comment Richard va s'en sortir.
Très bien traduit par Jean Claude Mallé, ce tome est quand même une fois encore une redite des précédant, alors oui il y plus d'action, mais elle aurait put être évité par un peu plus de réflexion.
Je vais continuer ma lecture par "Le Temple des Vents", en espérant y prendre encore plaisir.
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MessagePosté le: Mar Mai 12, 2020 1:44 pm    Sujet du message: L'Épée de vérité Le Temple des Vents Répondre en citant

Salut le coin
Avec ce tome 4 de "L'Épée de vérité" Terry Goodkind continu dans la même veine.



Cette fois la menace ne vient pas du Gardien, du moins en apparence mais de l'empereur Jagang, celui qui marche dans les rêves.
Comme d'habitude les pires fléaux vont s'abattre sur les Contrées, et Richard aidé de Kahlan va avoir du pain sur la planche.
Leur romance commence un peu a lassé, mais les déboires des autres personnages sauve un peu ce tome par l'Humour, la façon que Zed et Anna arrive a échappé à la mort lors de leur quête pour retrouver le prophète est géniale.
Avec la fin de ce tome, et sa conclusion j'espère que la suite relèvera le niveau de cette Saga.
Merci à Jean Claude Mallé pour son excellent travail de trduction, sans lui et ses confrères beaucoup trop d'oeuvre de SFFF me seraient inaccessibles.
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