Pépites - Anne-Laure Bondoux

[Soleil*]

A partir de 13 ans

Présentation éditeur
Bella Rossa est une jeune femme aux cheveux flamboyants et à la vitalité hors du commun. Pourtant, depuis sa naissance son existence n'est qu'une suite de calamités. Lorsque la guerre arrive jusqu'à Maussad-Vallée, elle décide que le moment est enfin venu de partir à la recherche de la fortune : elle a son idée ! Et tant mieux si, en chemin, elle trouve le bonheur... Embarquant son père paralysé et sa collection de casseroles, Bella Rossa se met en route vers l'Ouest.
Ce qu'elle ne sait pas, c'est qu'elle manquera de mourir par la faute d'une pépite et que l'Ouest lui réserve des rencontres aussi dangereuses que formidables. Ce qu'elle ne sait pas, c'est qu'il existe des pépites plus précieuses que celles des chercheurs d'or...

Une jeune fille avec beaucoup de caractère, un père handicapé qui cache un bon coeur sous un dehors acariâtre, un amoureux qui court les jupons, sans compter un cheval en liberté qui suit tout ce petit monde par choix, la galerie de personnages est fort intéressante ! Les aventures s'enchainent et on arrive au bout de ce roman sans s'en rendre compte. Et même s'il me reste une sensation qu'il manquait un p'tit quelque chose, ce fut dans l'ensemble une lecture plaisante.
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Il s’évanouit tout doucement à commencer par le bout de la queue,
et finissant par sa grimace qui demeura quelque temps après que le reste fut disparu.

[lily cocci]

tout pareil que soleil, même un peu plus, comme d'hab, parce que je suis moins exigeante.
un beau personnage féminin qui en bave mais qui avance avec une volonté sans faille.
l'auteur présente là une vision de l'amour loin du prince charmant des contes de fées. la vraie vie en somme. ce n'est pas de la littérature jeunesse au sens ou je l'entends moi. quelques gouttes de désillusions mettent ce roman dans la catégorie ado-adulte.

je redécouvre cet auteur avec plaisir. ces livres jeunesse ne m'avaient pas convaincu. j'attends avec impatience son livre épistolaire écrit avec Jean-Claude Mourlevat (sorti en début d'année) : "et je danse aussi".

[Soleil*]

Cinq ans après, j'ai tout oublié de cette lecture qui ne me rappelle absolument rien
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Il s’évanouit tout doucement à commencer par le bout de la queue,
et finissant par sa grimace qui demeura quelque temps après que le reste fut disparu.