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Les Forceurs de Blocus - Jules Verne

 
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Vassia



Inscrit le: 11 Mai 2018
Messages: 446

MessagePosté le: Dim Juil 18, 2021 10:53 pm    Sujet du message: Les Forceurs de Blocus - Jules Verne Répondre en citant

Un navire est en partance de l’Écosse pour tenter de briser à des fins commerciales un blocus maritime mis en place par les Nordistes autour de la ville de Charleston pendant la Guerre de Sécession.

A la dernière minute un homme se présente et demande à embarquer.

"— Mais qui es-tu ? demanda le capitaine.
— Un rude marin, j’en réponds, un gaillard solide et un luron déterminé. Deux bras vigoureux comme ceux que j’ai l’honneur de vous proposer ne sont point à dédaigner à bord d’un navire.
— Mais il y a d’autres bâtiments que le Delphin et d’autres capitaines que James Playfair. Pourquoi viens-tu ici ?
— Parce que c’est à bord du Delphin que je veux servir, et sous les ordres du capitaine James Playfair.
— Je n’ai pas besoin de toi.
— On a toujours besoin d’un homme vigoureux, et si, pour vous prouver ma force, vous voulez m’essayer avec trois ou quatre des plus solides gaillards de votre équipage, je suis prêt !
— Comme tu y vas ! répondit James Playfair. Et comment te nommes-tu ?
— Crockston, pour vous servir. »


Cet homme qui affirme être un marin éprouvé ne semble toutefois pas très net...

"Le marin, à ces paroles, parut un peu indécis ; puis, prenant son parti, il se dirigea vers l’arrière du Delphin.
« Eh bien, où vas-tu donc ? cria Mr. Mathew.
— Où vous m’envoyez, répondit Crockston.
— Je te dis d’aller dans les barres de misaine.
— Eh ! j’y vais, répondit le matelot d’un ton imperturbable et en continuant de se diriger vers la dunette.
— Te moques-tu ? reprit Mr. Mathew avec impatience. Tu vas chercher les barres de misaine sur le mât d’artimon. Tu m’as l’air d’un cockney qui s’entend peu à tresser une garcette ou à faire une épissure ! À bord de quelle gabare as-tu donc navigué, l’ami ? Au mât de misaine, imbécile, au mât de misaine ! »


Mais alors que diable vient-il donc faire sur ce navire ?



Je me suis noté quelques formules qui m'ont bien plu *Smile*

Les Forceurs de blocus (Jules Verne) 1865
Après tout, on allait risquer sa peau, et quand on va risquer sa peau, on aime assez à savoir comment et pourquoi.
[...] dont l’air niais cachait mal un certain fonds de finesse et de gaieté.
On a toujours besoin d’un homme vigoureux, [...]
Il a un joli oncle, ce neveu-là, répondit James Playfair.
Ils couraient après la fortune, non après la gloire.
[...], ses grands yeux dont l’animation ne pouvait tempérer la douceur, [...]
[...] ; une colère mêlée de honte s’empara de lui.
[...] tu m’as l’air d’un plaisant de première force.
[...] âme forte et généreuse, dont l’éducation s’était faite à l’école du malheur.
Voilà comme sont les Anglais : tout mauvais ou tout bons !
[...] les yeux humides des larmes de la reconnaissance, [...]
[...] en homme qui ne comprenait pas et ne pouvait pas comprendre, [...]
[...], parlant avec une grande franchise, à l’américaine, [...]
Le gain n’excuse pas.
Elle me retourne comme fait la mer d’un bâtiment en détresse.
[...], s’ils étaient jamais victorieux, ils seraient fort embarrassés de leur victoire.
Un prisonnier est plus possédé de l’idée de s’enfuir que son gardien n’est possédé de l’idée de le garder. Donc, un prisonnier doit toujours réussir à se sauver. Toutes les chances sont pour lui.
Elle eut la force de se taire, [...]
L’heure d’agir était arrivée.
Ces paroles n’étaient pas achevées qu’une fusée vint rayer les ténèbres et s’épanouir à une prodigieuse hauteur.
[...], et c’était un spectacle à faire frémir les cœurs les plus aguerris.
Ce fut un moment d’anxiété impossible à peindre ; [...]
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