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Cinq semaines en ballon - Jules Verne

 
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Vassia



Inscrit le: 11 Mai 2018
Messages: 446

MessagePosté le: Sam Juil 17, 2021 9:05 pm    Sujet du message: Cinq semaines en ballon - Jules Verne Répondre en citant

Voici l'été, j'en profite pour mettre au propre mes notes prises lors de mes écoutes de livres audio *Smile*

Aujourd'hui Cinq semaines en ballon de Jules Verne.

Il s'agit apparemment de l'un des premiers romans de Jules Verne du type Voyages extraordinaires. On y trouve comme souvent : un savant à l'esprit aventurier, son domestique prêt à le suivre jusqu'en enfer quitte à y prendre sa place et un compagnon façon Capitaine Haddock aimant chasser et à l'esprit plus sanguin qu'intellectuel.

Ces trois héros se sont lancés dans une traversée d'est en ouest d'une Afrique encore quasi inconnue.

Voici les formules qui m'ont bien plu lors de mon écoute *Smile*

Cinq semaines en ballon (Jules Verne) 1863

[...], en Angleterre, l’enthousiasme ne s’en tient pas seulement aux paroles.
[...], il avait une figure froide, aux traits réguliers, avec un nez fort, le nez en proue de vaisseau de l’homme prédestiné aux découvertes ; [...]
[...] cette existence de soldat ne lui convenait pas ; se souciant peu de commander, il n’aimait pas à obéir.
[...] ; c’était le type du parfait voyageur, dont l’estomac se resserre ou se dilate à volonté, dont les jambes s’allongent ou se raccourcissent suivant la couche improvisée, qui s’endort à toute heure du jour et se réveille à toute heure de la nuit.
Mais Fergusson se tenait toujours éloigné des corps savants, étant de l’église militante et non bavardante ; il trouvait le temps mieux employé à chercher qu’à discuter, à découvrir qu’à discourir.
Je ne poursuis pas mon chemin, disait-il souvent, c’est mon chemin qui me poursuit.
[...] ; l’amitié ne saurait exister entre deux êtres parfaitement identiques.
Ces deux jeunes gens n’eurent jamais l’occasion de se sauver la vie, ni de se rendre un service quelconque. De là une amitié inaltérable.
La destinée les éloigna parfois, mais la sympathie les réunit toujours.
Dick causait du passé, Samuel préparait l’avenir : l’un regardait en avant, l’autre en arrière.
[...], on ne voyage pas impunément au milieu des anthropophages et des bêtes féroces ; [...]
L’Écossais fit un bond qu’un chamois n’eût pas désavoué.
Asseyons-nous, dit le chasseur, et parlons sans passion
Du moment que tu ne plaisantes pas, cela vaut la peine que l’on discute.
Mais ce que précisément il ne faut pas faire, c’est d’essayer.
Tout est danger dans la vie ; [...]
[...] ; il faut [...] considérer ce qui doit arriver comme arrivé déjà, et ne voir que le présent dans l’avenir, car l’avenir n’est qu’un présent un peu plus éloigné.
L’homme né pour être pendu ne sera jamais noyé ! (proverbe anglais)
Il contemplait Samuel avec admiration, mais avec crainte aussi ; [...]
Ce qui exaspérait particulièrement Dick, c’est que le docteur semblait faire une abnégation parfaite de sa personnalité, à lui Kennedy ; [...]
Pourquoi souriait-il ? Il n’eût jamais pu le dire.
On l’écoutait comme un oracle, et il ne se trompait pas plus qu’un autre.
[...]quand on persiste à végéter dans ce monde-ci, on n’apprend rien, on reste ignorant comme un marsouin.
Kennedy apercevait des lièvres et des cailles qui ne demandaient pas mieux que de recevoir un coup de fusil ; [...]
Laissons-nous adorer, répondit le docteur, mais de loin. On y gagne toujours.
[...] il ne suffit pas de traverser l’Afrique, il faut la voir.
"— Et ils tombèrent ? demanda vivement Kennedy.
— Sans doute ! mais comme doivent tomber des savants, sans se faire aucun mal. "
[...], tout peut arriver, donc il faut tout prévoir…
Pour une divinité, il avait l’air d’un assez brave homme, [...]
Il fit une affreuse grimace, que l’assistance prit pour un sourire aimable.
Kennedy, de son poste, vit le danger sans en comprendre la cause.
[...]; l’homme est un animal si égoïste !
À force d’inventer des machines, les hommes se feront dévorer par elles !
[...], et le docteur demeura seul dans l’immensité.
Des femmes d’une corpulence invraisemblable se traînaient dans les plantations, [...]
[...]; ce pays devait être inhabitable et inhabité ; [...]
Ce ne sera pas la première fois, répondit le docteur, que l’on aura fait de la science les armes à la main ; [..]
[...] il faut en rabattre et accepter de temps en temps ce que la science nous enseigne ; [...]
[...]; il n’y aura peut-être pas toujours des savants, il y aura toujours des poètes.
Joe seul montrait une insouciante philosophie, trouvant tout naturel que la patrie ne fût pas là du moment qu’elle était absente ; [...]
— Est-ce que toute cette région est habitée ? demanda Joe.
— Sans doute, et mal habitée.
[...]; le pays marchait au-dessous de lui, il ne fuyait plus.
Sais-tu qui a tort ou raison, pour jouer le rôle de la Providence ?
[...]; un excès de prudence ne peut pas nuire.
Nous ne mentirons pas à cette dernière espérance.
Dieu soit loué ! Ces sauvages sont plongés dans un magnifique effroi !
La science a ses héros, dit le missionnaire.
[...], il parcourut ces régions barbares, poussé par cette force surhumaine qui vient de Dieu ; [...]
Cet obstacle que l’on ne pouvait tourner, il fallut le franchir ; [...]
La mort, commencement des choses éternelles, n’est que la fin des soucis terrestres.
Nous ne sommes pas venus ici chercher la fortune, et nous ne devons pas la rapporter.
[...] ces pierres entassées dans la nacelle sans valeur aujourd’hui, inestimables demain.
N’essayait-il pas dans ce voyage de franchir les limites de l’impossible ? Dieu n’avait-il pas réservé à des siècles plus reculés la connaissance de ce continent ingrat ?
Toutes ces pensées, comme il arrive aux heures de découragement, se multiplièrent dans sa tête, et, par une irrésistible association d’idées, Samuel s’emportait au-delà de la logique et du raisonnement.
Après avoir constaté ce qu’il n’eût pas dû faire, il se demandait ce qu’il fallait faire alors.
Sûr du pays passé, il ignorait le pays à venir ; [...]
[...]; la raison me préoccupe moins que le fait. Cela est ainsi, voilà l’important.
Le vent a peur de souffler, il dort.
Joe représentait la statue de la stupéfaction ! Il restait immobile.
[...] ils ne se désespéraient que pour l’avenir.
[...] ; avec la force revenait l’espoir ; avec l’espoir, l’audace.
Le passé s’effaçait devant l’avenir avec une providentielle rapidité.
Les traversées du désert sont autrement dangereuses que celles de l’Océan ; [...]
[...]; il n’osait plus penser, il ne voulait plus réfléchir.
Cependant une faim terrible le torturait ; son estomac, moins résigné que lui, se plaignait ; [...]
J’arrivai enfin à la lisière d’une immense forêt. Là, dans un enclos, des chevaux paissaient sans songer à mal.
Il y a des moments dans l’existence où tout le monde sait monter à cheval, n’est-il pas vrai ?
Voyez-vous, mon maître, si ce n’était pas si lourd, j’emporterais tout ce paysage en Écosse.
[...]; de femmes point, à cette heure du jour.
La ville paraissait livrée, en effet, à une grande incurie ; elle accusait la nonchalance épidémique des cités qui s’en vont ; [...]
Ce qu’une sauterelle ferait en petit, des milliards le font en grand.
[...] les voyageurs ne furent pas plus vus qu’ils ne virent ; [...]
Cinq semaines en ballon (Jules Verne)
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