Projet oXatan - Fabrice Colin

[Lyria]

Premier roman de science-fiction de Fabrice Colin

Projet oXatan

de Fabrice Colina
a obtenu le 15ème Livre d'Or des Jeunes Lecteurs.
(catégorie sénior)
Edition : Mango Jeunesse
Collection : Autres Mondes
à partir de 12 ans.

Le résumé :
Ils sont quatre adolescents : Phyllis, Jester, Diana et Arthur. Ils vivent depuis toujours au fond d'un cratère martien terraformé tapissé d'une jungle luxuriante, dans une grande maison (qu'ils ont baptisé le " Bunker ") entourée d'un marécage infesté d'alligators, sous la garde de MG, leur gouvernante un peu folle. Celle-ci est obsédée par une menace effroyable qui se cacherait dans la forêt. Mais de quoi s'agit-il ? Qui est le comte Armistad ? D'où viennent les enfants ? En quoi consiste le projet oXatan ? Les évènements se précipiteront lorsque Jester disparaîtra dans la forêt et qu'un aéronef atterrira dans le cratère.

4e de couverture :
« J' ai rêvé de la mort. J'ai rêvé que la mort nous frappait. Un, deux, trois. » C'est cette confidence de Phyllis qui m'a décidé à tenir mon journal. Pour parler de nous quatre : Phyllis, Diana, Jester et moi (je m'appelle Arthur), pour raconter enfin cette vie étrange dans le Bunker sous la surveillance de mademoiselle Grâce, notre gouvernante. Le Bunker est une grande maison entourée d'un marais infesté d'alligators, construite au fond d'un cratère martien recouvert d'une jungle où, paraît-il, vivent des ogres. Une prison, quoi. Et puis un jour tout s'est accéléré et, comme l'a prédit Phyllis, la mort a frappé. Un, deux, trois.

Pour plus d'informations, rdv sur les sites suivants :
*Site de la collection Autres Mondes
*Site du Salon Festi-Livres 2004 de Valenciennes
J'ai emprunté ce livre à la bibliothèque, je vais donc le lire et pourrai ainsi vous dire ce que j'en ai pensé.

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Projet oXatan chez Amazon.fr
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Stef
***Le rire, comme les essuie-glaces, permet d'avancer même s'il n'arrête pas la pluie.***Gérard Jugnot

[Lyria]

Ca y est, je l'ai commencé, je suis en train de le dévorer!!!J'ai découvert que ce roman a reçu un autre prix (le prix Gayant Lecture 2003 du Salon du Livre de Douai), décidément, il plait.
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Stef
***Le rire, comme les essuie-glaces, permet d'avancer même s'il n'arrête pas la pluie.***Gérard Jugnot

[Lyria]

En un mot : GENIAL ! Le suspense est vraiment bien maintenu. J'étais tellement absorbée par l'histoire que je passais par les mêmes stades que les personnages : surprise, doute, "peur". L'histoire est super bien ficelée, on se doute qu'un secret entoure ces enfants. Petit à petit des indices nous guident vers la réponse jusqu'à la révélation finale qui m'a agréablement surprise. Pas de fin tordue, c'est bien amenée, dans la continuité de l'histoire. L'auteur n'"épargne" pas le lecteur, les épreuves que les personnages affrontent sont difficiles, dangereuses, et le récit est à la hauteur du final (l'histoire commence par la fin). Bref, vous l'aurez deviné : j'ai ADORE!!
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Stef
***Le rire, comme les essuie-glaces, permet d'avancer même s'il n'arrête pas la pluie.***Gérard Jugnot

[Lyria]

Un autre prix a été décerné à ce ce livre : Le Prix des Incorruptibles 2003/2004, catégorie 4ème/3ème a été décerné à Fabrice Colin pour son titre Projet oXatan, collection Autres Mondes (dirigée par Denis Guiot), Éditions MangoPour plus d'infos, RDV sur le site des incos
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Stef
***Le rire, comme les essuie-glaces, permet d'avancer même s'il n'arrête pas la pluie.***Gérard Jugnot

[CeNedra]

Le truc quand on ouvre un livre de Fabrice Colin c'est que l'on sait qu'il ne fera pas de cadeau à ses personnages. Cette histoire n'échappe pas à la règle. Par contre il annonce la couleur dès le début. Dans les premières lignes on sait qui va disparaître. Ca pourrait gacher le suspens et bien non... On rentre dans l'histoire et malgré tout on se demande jusqu'où il va nous emmener. Les personnages des enfants reprennent des clichés, le petit gros, l'intello, le sportif et la jolie fille et pourtant ça marche. Cependant contrairement à Lyria je n'ai pas été surprise par la fin. Un bon livre qui a reçu un excellent accueil comme en témoigne les prix remportés.
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[menolly]

Lu hier soir et j'ai adoré ! Moins caustique que mes précédentes lectures de cet auteur mais comme l'ont déjà dit CeN et Lyria, Colin n'est toujours pas tendre avec ses personnages.

Encore un excellent livre de la collection Autres Mondes qui ne m'a encore jamais déçue jusque là (et je commence à en avoir lu un paquet)
à mettre entre toutes les mains !
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[Alex]

J'ai été très déçu par ce livre, je m'attendais à beaucoup mieux vu qu'il est de la collection Autres Mondes. Je l'ai trouvé compliqué pas à lire mais à comprendre ou l'auteur veut en venir et l'histoire n'est pas bien du tout.
Dommage, dommage.
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Un soir consacré à la lecture des grands livres est pour l'esprit ce qu'un séjour en montagne est pour l'âme.

[shinzawai]

J'ai vraiment bien aimé.
Très vite lu.
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euh ... les jambes permettent aux hommes de marcher et aux femmes de faire leur chemin.

-misogyne !!!
-ah non ! mais pas du tout alors !
hoho : http://www.actusf.com/SF/articles/librairie.htm

[Gaultier]

Mouais… Pas très convaincu par ce petit roman de science-phy un peu bizarre… l'histoire est vraiment space, et la morale très bien cachée (même pas trouvée, en ce qui me concerne). Contrairement à ce que Menolly a dit plus haut, moi je le remettrai pas "entre toutes les mains". En tous cas pas entres celles encore un peu potelés et habituées à des gentils petits romans de la bibliothèque rose… La fin est un peu "trash" quand même… D'ailleur à ce propos, j'ai trouvé que c'était un peu trop de faire mourir tout les gens, comme ça. C'est pas terrible de distribuer la mort comme de l'ostie.

Je tire pas mon chapeau à Fabrice Colin pour ce roman, mais vous recommande plutôt, du même auteur, les étranges soeurs Wilcox, une série que j'ai adoré!!

[Soleil*]

Sympa sans plus.
Je n'ai pas trop aimé la narration trop enfantine d'Arthur, et il manque un petit quelque chose pour que j'accroche vraiment.
Je risque de l'oublier assez vite.
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Il s’évanouit tout doucement à commencer par le bout de la queue,
et finissant par sa grimace qui demeura quelque temps après que le reste fut disparu.