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Mémoires de Barry Lyndon du royaume d'Irlande - William Thackeray

 
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Vassia



Inscrit le: 11 Mai 2018
Messages: 449

MessagePosté le: Lun Aoû 09, 2021 11:00 pm    Sujet du message: Mémoires de Barry Lyndon du royaume d'Irlande - William Thackeray Répondre en citant

Dans Les Mémoires de Barry Lyndon, le narrateur raconte avec cynisme les divers stratagèmes par lui élaborés pour se faire la fortune à laquelle il estime avoir droit ainsi que les concours de circonstances ayant jalonné sa vie entre l'Irlande et le continent européen.

Pour ma part j'ai écouté ce roman de William Thackeray après avoir été séduit par le film qu'en a fait Stanley Kubrick.
Après l'avoir écouté je peux dire deux choses : le film a été très fidèle au roman, le film m'aurait en fait suffi *Laughing*
Disons que, pour moi, le film magnifie les éléments importants du roman et n'en perd rien. Et comme cela va plus vite d'en regarder le très beau film que de lire le roman...
Mais bon comme sans ce roman point d'adaptation cinématographique et qu'en plus on est ici sur un forum de littérature je vais dire que je suis tout de même content de l'avoir lu (écouté, si j'avais voulu le lire je ne pense pas que j'en serais arrivé au bout, mais ça c'est le cas pour une grande part des livres que j'ai écoutés).

C'est bien écrit c'est sûr et je m'en suis noté quelques tournures qui m'ont bien plu et que je partage ici avec vous *Smile*
Mémoires de Barry Lyndon du royaume d'Irlande (William Thackeray) 1844
Depuis Adam, il n’y a guère eu de méfait en ce monde où une femme ne soit entrée pour quelque chose.
[...],les femmes ont joué un rôle important dans les destinées de notre race.
Ils se conduisirent, comme c’est leur coutume, avec la plus intolérable insolence envers les Irlandais ; [...]
[...] une autre Majesté, dont la volonté n’admet ni délai ni refus, à savoir, par la mort, [...]
[...] des sarcasmes ne pouvaient nous faire renoncer à ces distinctions qui étaient l’apanage de notre rang.
[...], une rossée ne fait que peu d’impression sur un garçon de cet âge, [...]
[...]car son frère [..] haïssait son frère aîné, comme c’est l’habitude dans les familles du grand monde, [...]
[...] avant cinquante ans je n’ai jamais vu de femmes laides [...]
S’il est encore en vie, je lui fais mes excuses.
Je ne me souciais pas de boire, et ne connaissais point cette terrible consolation ; [...]
[...], riant sans se contraindre, dans la conscience orgueilleuse de sa supériorité ; [...]
[...] le moment où l’on devient homme, est, je pense, celui de notre plus grand égoïsme.
Je ne m’arrêtai pas pour l’assommer, comme j’aurais fait dans une autre circonstance, [...]
[...] le misérable caressait et pressait la main qui reposait tout contre son odieuse veste ; [...]
Comment pouvez-vous faire une telle question à une nymphe pudibonde ?
[...] Nora fit la seule chose que puisse une femme en pareille circonstance : elle s’évanouit en forme.
[...] c’était mon premier duel, et j’en étais aussi fier que d’un habit de velours galonné.
Car, après tout, quel besoin a le temps de nous apporter des consolations ?
Au troisième toast, c’était toujours la coutume des dames de se retirer ; [...]
C’est bon, c’est bon, ne prenez pas cet air furieux ; disons qu’elle est belle, il ne faut pas disputer des goûts ; [...]
Je n’ai peur d’aucun homme vivant, m’écriai-je [...]
Je connais les femmes, monsieur. Donnez-leur le temps, et que personne autre ne vienne à la maison, elles deviendront amoureuses du ramoneur.
[...], j’aurai son sang aussi sûr que mon nom est Redmond.
Je dis cela, parce que j’étais très-échauffé dans le moment, et parce que ce n’était pas pour rien que j’avais lu des romans et des drames romanesques.
Pour un jeune garçon, vous êtes bien sanguinaire.
[...] il y a soixante ans, un homme était un homme, [...]
Quand j’arrivai au logis, je sentis que j’étais un homme tout de bon ; [...]
Ah ! elles ont leurs défauts, les mères, mais est-il d’autres femmes comme elles ?
Un homme d’honneur, [...], meurt, mais ne fait pas d’excuses.
[...] on n’est jamais bien triste à seize ans, quand on a pour la première fois sa liberté et vingt guinées en poche ; [...]
[...] ma mère, qui me dit que c’était la marque d’un homme de qualité de ne s’émerveiller de rien, [...]
[...] mais comme ce qui est fait est fait, et sans remède, [...]
[...] la jeunesse est toujours trop confiante.
[...], dans la simplicité de ma jeunesse, je pris ses histoires pour argent comptant, [...]
Hélas ! nous sommes le jouet de la destinée.
Je n’ai jamais vu de jeunes gens faire une telle figure, et avec si peu de moyens.
Le sentiment du danger, toutefois, me rappela à moi-même.
[...] j’ai toujours remarqué que l’adversité rend l’homme très affectueux
Il faudrait un plus grand philosophe et un autre historien que moi pour expliquer les causes de la fameuse guerre de sept ans [...]
[...] les livres écrits là-dessus étaient si prodigieusement difficiles à comprendre, que j’ai rarement été plus avancé à la fin d’un chapitre qu’au commencement [...]
Il fait bon, néanmoins, rêver de guerres glorieuses dans un bon fauteuil chez soi, ou de les faire en qualité d’officier, entouré de gens comme il faut, somptueusement habillé, [...]
Ces gens-là (je parle des romanciers), s’ils prennent un tambour ou un laquais pour leur héros, trouvent moyen de le mettre en contact avec les plus grands seigneurs et les plus grandes notoriétés de l’empire, [...]
Les hommes deviennent de tels voleurs et de tels gredins à la guerre !
Que de crimes, de misère, d’esclavage, pour composer ce total de gloire !
La femme qui s’éprend d’un uniforme doit être préparée à changer bientôt d’amant, ou sa vie sera bien triste.
Le pays était désolé au delà de toute expression.
« Où sont les beautés que vous m’avez promises ? dis-je aussitôt que la sorcière eut quitté la chambre.
[...] j’ai toujours remarqué que si un homme ne se fait pas valoir lui-même, ce ne sont pas ses amis qui le feront pour lui
Je suis Saxon, dit le candidat, et l’indignation ne sert à rien.
Tous ces maux-là sont passagers, et par conséquent supportables.
[...] un homme n’est pas un Mensch complet, tant qu’il n’est pas père de famille, [...]
Pardonnez-moi de dire si souvent je, poursuivit le candidat ; mais quand un homme parle de lui-même, c’est la manière la plus courte et la plus simple de parler.
[...] il faut être un sot pour ne pas s’emparer de ce qu’il y a de mieux quand on a des pieds et des mains.
[...] j’ai vu la rébellion irlandaise, et je sais ce que c’est que la franc-maçonnerie du pauvre.
[...], dans ces engagements plus glorieux que profitables, il se perdait beaucoup de temps ; [...]
[...], comme gentilhomme, je ne pouvais me souiller par une occupation manuelle.
[...], pour dire la vérité, après cinq années, passées dans les rangs, la fierté d’un homme se soumet à mainte humiliation qui lui serait insupportable dans une position indépendante.
J’ai eu souvent de ces pensées ; mais elles ne sont pas des plus gaies, et il est tout aussi bien qu’elles ne vous viennent pas en compagnie [...]
[...] n’étais-je pas justifié d’user de ruse ?
[...], vous ne savez pas ce que c’est que d’entendre une voix amie dans la captivité, [...]
Les femmes m’ont fait faire bien des sottises, [...]
À l’époque dont je parle, j’étais un jeune garçon [...] respectant beaucoup trop, certainement, la supériorité d’âge et de position de mon oncle.
[...] la simplicité était notre secret : tout ce qui réussit est simple.
Toutes les femmes avides de me recevoir, tous les hommes furieux ; [...]
[...] il en est de même des cartes, études et passe-temps sans lesquels j’ai peine à concevoir qu’un homme d’honneur puisse exister.
Le point d’honneur n’est pas compris de ce charmant sexe ; [...]
[...] les gentilshommes en ce temps-là ne s’habillaient pas comme des clercs de paroisse, [...]
Ce que vous appelez jouer loyalement eût été folie.
[...] ses faiblesses mêmes étaient plus attrayantes que les vertus des autres femmes, son égoïsme plus ravissant que la générosité des autres.
[...] il n’y a que les gens de bas étage qui se marient par pure affection [...]
[...] trouver un parti qui me parût digne d’un homme de ma naissance, de mon mérite et de mon physique.
[...], avec ces idées romanesques et sentimentales qu’ont presque toutes les femmes, [...]
[...], elle la poursuivit de sa haine avec cet art ingénieux qui n’appartient qu’aux femmes [...]
[...], je ne serais point assez bête pour me battre avec un homme qui me doit tant d’argent ; [...]
[...], les dames aiment à jouer, certainement, mais elles n’aiment pas à payer.
Il n’en put dire davantage. La vérité commençait à lui apparaître.
Je ne suis pas plus admirateur que vous de cette dame ; mais j’ai besoin de sa fortune.
[...], en appelant d’un air effaré tous les saints à son aide, comme s’ils pouvaient s’intéresser au sort d’un tel misérable.
[...], bien que quelque rigide moraliste en puisse contester la loyauté, je dis que tout est légitime en amour, et que des hommes aussi pauvres que moi ne peuvent pas se permettre de tant faire les difficiles sur les moyens de réussir dans la vie.
Les grands et les riches sont accueillis avec un sourire sur le grand escalier du monde ; celui qui est pauvre, mais ambitieux, doit grimper par-dessus le mur, [...]
À quoi est bonne la vie sans l’honneur ? et l’honneur est si indispensable, que nous devons l’acquérir n’importe comment.
[...] ceci prouve ce que peuvent le génie et la persévérance, [...]
[...] je ne m’inquiétais d’aucune de ses sottes préventions, et j’étais déterminé à la conquérir et à la posséder en dépit d’elle-même.
[...], ce serait compromettre mon goût d’homme à la mode que d’avouer que j’en eusse pour elle.
[...] le prince Victor était lui-même d’une nature si élevée et si sévère, qu’il ne pouvait pas croire qu’elle méconnût assez son rang pour oublier sa vertu ; [...]
[...], si j’avais un fils, je le supplierais à genoux d’éviter la femme, qui est pire que le poison.
[...] ce fut un de ces actes ordinaires de sagesse et de prévoyance qui distinguent cet habile homme.
[...], fort peu ému de ce petit déploiement de fade sensibilité, [...]
[...] il n’est pas d’infatuation comme celle d’une femme amoureuse ; [...]
Pourquoi, vous et votre race maudite, êtes-vous jamais venus de France pour semer partout sur vos pas votre infernale perversité, et pour perdre les honnêtes ménages allemands ?
[...] une femme d’un si pauvre esprit ne méritait pas une grande somme de plaisir.
Toute fausse qu’était Schouvaloff, mieux valait être trompé par elle qu’adoré par toute autre femme !
J’ai de leurs cheveux à toutes dans mon pauvre petit muséum de souvenirs.
[...]; une récolte est tout aussi chanceuse qu’un partie de cartes largement jouée par un grand joueur ; [...]
J’aime le courage dans un homme ; les plus grands succès dans la vie ont été obtenus par cette indomptable persévérance.
[...] vous me plaisez, jeune homme, parce que vous paraissez déterminé à aller au diable par un chemin à vous.
Depuis que je suis marié et que je suis riche, je suis la plus misérable créature du monde.
[...] son rire n’était ni jovial ni agréable, mais plutôt pénible et sardonique.
Elle avait autant d’envie d’être admirée, une vanité aussi forte, aussi inquiète, et aussi peu de cœur qu’aucune femme que j’aie jamais connue.
[...], c’est à ceux qui gagnent de rire.
Il n’y a rien de tel, monsieur, que d’avoir à la maison une vertueuse bête de somme, soyez-en sûr.
[...], s’il choisit bien sa bête [sa femme], il la choisira de façon à ce qu’elle ne soit point un obstacle à son plaisir, mais une consolation à ses heures d'ennui.
Ayez un ami, monsieur, et que cet ami soit une femme, un bon cheval de bât qui vous aime.
Quelques milliers de livres sterling par an, en dédommagement d’une odieuse femme, c’est un mauvais marché pour un jeune garçon, pour peu qu’il ait de talent et de courage ; [...]
[...] les jeunes gens comme vous prennent aisément feu et se découragent aisément.
[...], ayant fait la guerre et l’amour, [...]
Je crois qu’on n’oublie rien.
Je l’aurais pris à mon service sans sa monstrueuse taille, qui le rendait tout à fait impropre à être auprès d’un homme de condition ; [...]
[...] je trouvai une souillon dans une hutte de boue, entourée d’une nichée d’enfants [...]
J’avais joué à ce jeu-là trop sérieusement pour le faire à la légère ; [...]
[...] elle déplore amèrement son sort d’être unie à quelqu’un de si indigne d’elle.
[...] ; soyez aussi brillant, et aussi brave, et aussi bizarre que possible.
Mais un homme lancé dans la haute sphère où je me trouvais avait des devoirs publics à remplir avant de consulter ses sentiments privés ; [...]
[...] une lettre respectueuse et calmante, [...]
[...] la pauvre mère s’élança dans mes bras avec un cri, et avec des transports de joie que je n’essayerai pas de décrire : ils ne peuvent être compris que des femmes qui ont tenu dans leurs bras un fils unique, après douze ans d’absence.
[...] dit ma mère se hérissant à cette attaque contre son fils, [...]
Supposez-vous qu’un homme de mon courage et de mon énergie peut ne pas venir à bout de tout ce qu’il tente, [...]
Les Anglais sont trop souvent d’un rigorisme et d’un orgueil absurde en fait de point d’honneur ; [...]
Une femme de mon rang, monsieur, n’a rien à craindre de la haine d’un aventurier tel que vous, [...]
[...] ; je la fascinais du regard, je la voyais rougir et pâlir de crainte et de stupeur ; [...]
La terreur, soyez-en sûr, n’est pas un mauvais ingrédient de l’amour.
Quand une femme commence à parler ainsi d’un homme, âne est celui qui ne vient pas à bout d’elle ; [...]
[...] : l’idée lui vint de courir après la voiture, mais son courage et ses petites jambes lui firent défaut, [...]
[...] il y a manière de faire croire une chose même en la contredisant, [...]
On n’échappait pas ainsi à un homme de ma résolution.
Tout le monde était d’une délicieuse scélératesse.
Le récit détaillé d’une histoire d’amour est ennuyeux pour tous ceux qu’elle ne concerne point, et je laisse un pareil thème aux fades romanciers, [...]
[...] de tels obstacles ne sont rien pour un homme d’énergie, et [...] il peut convertir l’indifférence et la haine en amour, s’il a suffisamment de persévérance et d’habileté.
[...] de donner un caractère légal à cette liaison qui outrage à la fois la décence et la religion ; [...]
Les premiers jours d’un mariage sont d’ordinaire une terrible épreuve ; [...]
[...] je ne connais rien de plus coupable que cette insouciance des ancêtres, de planter leurs terres de bois de peu de valeur, quand ils pourraient tout aussi aisément faire venir des chênes.
L’insubordination de cet enfant était terrible.
[...] sa haine pour moi semblait croître avec lui, et il croissait à vue d’œil.
[...] sans aucun de ces soucis et de ces responsabilités qui sont le douloureux apanage de la grandeur et de la fortune.
[...] d’une façon dont on n’avait pas d’idée quand l’individu était plongé dans la froide et grise atmosphère de la pauvreté.
[...] ; ses conversations avec moi étaient empreintes d’un stupide désespoir, entremêlé de sottes et gauches tentatives de gaieté forcée, encore plus désagréables ; [...]
Le fait est qu’un homme généreux est toujours mené par une femme ou par une autre ; [...]
Le fait est que je suis de ces gens nés pour faire leur fortune, et non pour la conserver ; car les qualités et l’énergie qui mènent un homme au succès dans le premier cas sont souvent la cause même de sa ruine dans le second ; [...]
[...] on est devenu considérablement plus moral et plus positif qu’on ne l’était à la fin du siècle dernier, alors que le monde était jeune ainsi que moi.
[...] lady Lyndon et moi, nous ne nous querellions pas plus que ne font les gens fashionables, [...]
[...] je ne suis pas homme à laisser dormir un sentiment de cette espèce.
Quoique whig, ou peut-être parce que whig, le marquis était un des hommes les plus hautains qu’il y eût, [...]
[...] je connais fort peu de femmes au monde que je ne pusse dompter.
Sa mort n’aurait pas été avantageuse pour moi, comme je laisse à imaginer à toute personne douée de quelque prudence ; [...]
Quelle énigme que ces femmes !
Telle est l’inconséquence des femmes !
Le profond repentir qu’eut le prince de sa violence le porta à se lier étroitement avec celui qui en avait été victime ; [...]
Un homme qui a trente mille livres sterling de rente serait bien bête de risquer sa vie comme le premier mendiant venu ; [...]
C’était un de ces gens qui aimeraient mieux recevoir des coups de pied d’un grand que de ne pas en être remarqué ; [...]
[...] l’illusion qu’il se faisait d’être de leur société.
Les rapports qu’elle m’envoya dans le commencement sur son compte étaient faits pour causer beaucoup de peine à mon cœur paternel.
[...] se plongeant dans toute sorte de bouquins moisis, qui lui brouillaient la cervelle ; [...]
[...] des quolibets qui (comme elle n’avait pas la repartie très-vive) la mettaient dans de violentes colères ; [...]
[...] mon opinion alors [...] était que milord Bullingdon n’avait pas besoin de mon aide pour aller dans l’autre monde, [...]
[...] je n’étais plus maître de ma colère, et j’étais dans un état à commettre un meurtre ou tout autre crime.
[...] j’avais trop de cœur pour plier devant une insulte si signalée ; [...]
[...] toute cette écume que nous tolérons dans nos assemblées publiques.
[...], nous fûmes renvoyés de Paris, et je crois que j’y laissai une ou deux belles dames inconsolables. C’est le seul endroit où un gentilhomme puisse vivre comme il lui plaît, sans être incommodé de sa femme.
[...] d’une froideur somnolente [...]
[...] ; je fus enlacé dans une toile inextricable de billets et de mémoires, d’hypothèques et d’assurances, et de tous les horribles maux qui s’y attachent.
[...], j’étais sûr de ramener à la bonne humeur ce pauvre esprit de femme, [...]
[...] il n’y a pas à se tromper sur cette terrible expression des yeux.
Mais à quoi sert un médecin dans une lutte avec le sombre, l’invincible ennemi ?
[...] il est des promesses qu’il n’est pas au pouvoir d’un homme de tenir, [...]
[...], qui, à l’abri du soupçon, couvre d’un masque de sainteté ses péchés et ses faiblesses.
[...], avait résisté à ma proposition avec autant d’énergie qu’en pouvait déployer une femme de sa faiblesse, [...]
[...] je ne regarde pas comme au-dessous de moi d’avouer mes défauts [...]
Elle n’est pas la première personne de son sexe ou du mien qui ait haï une belle-mère.
Tout homme emprisonne sa femme jusqu’à un certain point ; le monde serait dans un joli état si les femmes pouvaient sortir de chez elles et y rentrer quand il leur plaît.
Elle était toujours à lire des romans et autres fariboles ; se supposant dans des rôles imaginaires, s’égarant dans l’héroïque et le sentimental, [...]
La lecture des romans et la vanité lui avaient tourné la cervelle.
[...] elle était aussi absurde et véhémente dans ses expressions de tendresse qu’elle l’était, à d’autres moments, dans ses démonstrations de haine.
Je crois que les femmes préfèrent un peu de violence de caractère, et ne pensent pas plus mal d’un mari parce qu’il exerce son autorité haut la main.
[...] tous les gens timides sont menteurs dans l’âme [...]
[...] elle trouva moyen de me fourvoyer avec un art de dissimulation tout à fait admirable, et m’endormit dans une funeste sécurité [...]
Soyez-en sûr, la rusée drôlesse a en ce moment même quelque autre plan en tête.
[...] il est des situations où on ne peut pas imposer ses conditions, [...]
Quand un homme va au diable, comme le voyage est facile et agréable !
Je suis confondu de la profondeur de son hypocrisie.
[...] un homme qui avait l’air moisi, en perruque non poudrée, [...]
C’était l’épithète de vieille qui l’avait piquée. J’aurais pu lui donner impunément tout autre nom que celui-là.
[...] elle s’élança dans ses bras avec une impétuosité nerveuse ; [...]
[...] milady avait l’habitude d’écrire des lettres extrêmement sottes, comme beaucoup de femmes, et même d’hommes, [...]
[...] il vengea sur lui les insultes des anciens jours.

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